Car c’est la vie qui lui fait peur
A part d’une émotion qui reste,
Romance- jamais elle ne déplaise
Opaque beauté- je la déplore.
La solitude parfois l’accable-
Impératrice des nuits sans gêne.
Ne cherche pas de l’impensable
Et tu pourras t’en sauver même.
11 novembre 2003, Pradelles